Paris est véritablement en mode proactif en vue des Jeux Olympiques et Paralympiques, qui se tiendront respectivement du 26 juillet au 11 août prochain, et du 28 août au 8 septembre. Les autorités et même les entreprises françaises se préparent à les accueillir.
Au moment où s’écrivent ces lignes, il y a toujours une possibilité qu’une équipe inédite gagne le Super Bowl 2023. Ce serait un première pour les tout nouveaux Commanders de Washington, même si, en réalité, cette organisation a déjà remporté trois championnats de la NFL. Mais c’était à une autre époque, quand il était admis de porter un nom qui évoque les Premières Nations autochtones, en l’occurrence Redskins, les peaux rouges.
La planète sport, en partie du moins, était en liesse fin juillet lorsque la Québécoise Kim Clavel a remporté son combat contre la Mexicaine Yesenia Gomez, devenant ainsi la “championne du monde des mi-mouches” de la WBC (Word Boxing Council). En seulement quinze combats chez les pros. Sans vouloir rien enlever à cette athlète accomplie, disons qu’il a fallu davantage de matchs à Serena Williams pour devenir la reine du tennis féminin. Mais c’est la nature de ce spectacle, ce qui est un autre sujet.
Peng Shuai s’est pourtant appliquée pour un bel amorti, placer son #metoo près du filet, le déposer juste sur la ligne de l’admissible. Après tout, dénoncer une agression sexuelle de la part d’un ex-apparatchik du Parti communiste ne cachait aucune intention politique à première vue. Quoi de plus naturel pour une jeune fille qui vit son époque sur les plus prestigieux courts de tennis de la planète que de réclamer le respect.
Depuis deux ans, la COVID-19 a agi comme un catalyseur de grands changements sociaux et économiques, souvent négatifs. Ce n’est pas le cas du golf : la pandémie en a plutôt propulsé la pratique.