Accueil2025-10-12T18:59:14+00:00

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Édification d’un labyrinthe en Palestine

En son temps, de Gaulle avait constaté et répété que le Moyen-Orient était compliqué. Voici qu’entre l’avalanche, au demeurant tardive, de la reconnaissance d’un État palestinien par plusieurs pays et un plan de paix indéterminé négocié en Égypte, une réalité s’est confirmée : l’édification d’un labyrinthe domine désormais l’ordre du jour moyen-oriental.

L’autre visage de la guerre : les sportifs meurent aussi ! 

Depuis le 27 octobre 2023, date à laquelle a commencé l’offensive militaire israélienne à Gaza, les chiffres des Palestiniens décédés sont atterrants. Ils seraient plus de 60 000. Depuis cette date, ils sont nombreux à parler maintenant de génocide devant l’ampleur du massacre de la population palestinienne par l’armée israélienne.  

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La troisième guerre mondiale est commencée

Oubliez les 12 000 ogives nucléaires qui dorment dans leur silo et les hangars. La guerre froide est terminée depuis longtemps et aucun membre du club atomique officiel n’a d’aspiration suicidaire. La détente ? Une illusion. Au contraire, certaines puissances rêvent davantage d’expansion, et la Russie de Poutine plus que toute autre. Plus grande, plus forte, plus influente. Nous sommes en guerre hybride, celle qui attaque les esprits, celle qui terrorise, celle qui manipule les populations pour recruter des alliés, et pour défaire l’ennemi.

Le Nord québécois, fer de lance des revendications des Premiers peuples

La Convention de la Baie-James et du Nord québécois (CBJNQ) a cinquante ans. Le 11 novembre 1975, le premier ministre du Québec, Robert Bourassa, le chef de la nation crie, Billy Diamond, et le chef de la nation inuit, Charlie Watt, apposaient solennellement leur signature sur cette entente historique qui allait marquer de façon durable les relations entre les autorités québécoises et les Autochtones occupant cet immense territoire depuis des millénaires.

Le Québec et la protection de la jeunesse autochtone

On a beaucoup parlé des ravages causés par les écoles résidentielles qui ont soustrait des cohortes d’enfants autochtones à leur communauté et à leur culture. Traumatisés par les rafles des années 1960 et 1970, les autochtones en ont assez de perdre leurs enfants. Plusieurs groupes ont commencé à définir leurs solutions de remplacement de la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ).

Par |Québec|0 Commentaire

Elle vacille, mais ne s’éteint pas

Urticaire politique pour les uns, mirage pour les autres, urgence pour certains, si ce n’est une question de survie, diront tout simplement ceux qui désespèrent d’un pays. Ainsi en est-il de l’indépendance du Québec, une idée qui ne semble pas vouloir s’éteindre. Elle que l’on croyait à jamais dans les limbes depuis le référendum de 1995, voilà qu’elle se ravive à un an d’une prochaine élection provinciale. Or depuis le surgissement de cette perspective politique dans la société canadienne-française de la fin du XIXe siècle, quels contours a-t-on donnés à cette idée qui colle à l’histoire du Québec comme le sparadrap aux doigts du capitaine Haddock dans L’Affaire Tournesol ?

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À l’aube d’une population mondialisée

L’immigration devient un outil politique un peu partout en Occident. Les mouvements de population créés par les guerres et les dérèglements climatiques s’aggravent et représentent un des grands défis sociaux du présent siècle. C’est un enjeu socio-économique clivant auquel le Québec ne peut échapper malgré les défis particuliers de la francisation. Pour les « natalistes », le faible nombre de naissances, voire l’hiver démographique, commande une ouverture maîtrisée des frontières afin de maintenir la capacité de l’État à offrir un panier de services à la population vieillissante de son territoire.

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Quand la démocratie prend un coup de vieux

C’est une implacable réalité : les jeunes boudent les urnes, ceux qui l’ont été répondent massivement présents aux rendez-vous électoraux. Alors, l’inévitable question se pose : la présence de plus en plus marquante des papy-boomers dans le paysage politique occidental est-elle en train de transformer les rouages de la démocratie ?

George Cables : le passe-muraille

Le 19 septembre dernier de la scène du Smoke Jazz Club de New York, le saxophoniste ténor Craig Handy a ciselé comme à son habitude des notes robustes. Celles qu’il souffle sans l’ombre d’une hésitation. Handy est de l’école Charles Mingus. À ses côtés, il y avait le contrebassiste Essiet Essiet et le batteur Jerome Jennings qui faisaient ce qu’il se doit. Mais encore ? Assurer la solidité de l’architecture musicale.

Par |Jazz|0 Commentaire
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